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 ◕ L'argent est sale, aussi sale que mon corps à New York. ◕

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AuteurMessage
Espérance L. Forester

Enfant d'Hadès
Espérance L. Forester

Drachmes : 200
Je suis : Une demi-déesse
Parent divin : Hadès
Responsabilité : Conseillère
Feat. : Jiyeon
† Do not ever put myself in anger. †

◕ L'argent est sale, aussi sale que mon corps à New York. ◕ Empty
MessageSujet: ◕ L'argent est sale, aussi sale que mon corps à New York. ◕   ◕ L'argent est sale, aussi sale que mon corps à New York. ◕ EmptyMer 13 Juin - 18:43

◕ L'argent est sale, aussi sale que mon corps à New York. ◕ 3096095489_1_7_RZgjpyPI

  • Un an après mon arrivée au camp.

    J'étais là assise sur mon lit nu, recouverte à peine d'un drap, je l'entendais se rhabillais et feignait l'indifférence même si au fond de moi je me dégoûtais. Comment je pouvais tomber si bas ? Pour quelques dollars, je vendais mon corps, pourquoi ? Ma mère avait des problèmes d'argent et elle ne pouvait pas travailler alors c'était à moi de s'en charger. Je devais le faire, elle m'avait élevais seul et sans travail je pouvais au moins faire ça pour elle. J'ai une dette gravé au fer rouge envers elle. J'entendais tout un coup, une voix, qui me sortait de mes pensées, résonnais dans l'appartement.


    « - A présent je serais ton « père », tu pourras garder cet appartement aussi longtemps à condition que tu restes à mon service. Tu pourras sortir si tu le souhaites mais, je veux que tu sois de retours avant mon arrivée pour te préparer. Je viendrai ici tous les soirs de 23h à 6h, tu m'accompagneras pour quelques sorties. Pas un mot à l'extérieur et si tu me croises quelque part fait comme si tu ne me connaissais pas. Je ne souhaite pas que notre relation ça s'ébruite à l'extérieur. Ah... J'allais oublier, tien. 1261$ sa devrais suffire pas vrais ? Bref, à demain. »

    Il jetait les billets sur moi comme si je n'étais qu'un vulgaire objet, ce qui n'était pas faux à ses yeux puis posais les clefs sur la table et partait. Je me sentais encore plus mal maintenant,... Je serai ton père... Evidemment ceci n'étais pas du point de vue familiale mais, du point de vue affaire, dans le milieu où je travaillais quand une fille comme moi avait un « père » c'était tout simplement qu'elle avait trouvé un client régulier et qui couvraient toutes ses dépenses en plus de la payer. Ce qui était à la fois rare et sous contrat, je ramassais lentement les billets éparpillais autour de moi tout en les comptant, je les pliais ensuite et les attachés avec mon élastique. Je me rallongeais sur le lit en rejetant le deuxième drap couvert de sang, à présent séché, j'étais vraiment réduite à sa ? Être plus qu'un objet ? Toute façon je n'avais pas mon mot à dire.Je regardais le réveil à côté de moi et me levais pour me préparer pour allez en cour, je ne fis pas attention à la copie du contrat sur la table, je savais déjà que ma mère l'avait signé. Sous la douche je me frottais tellement fort avec le savon que ma peau était à présent toute rouge. Malgré ma récente arrivée, à présent oubliée, au camp je continuais d'aller en cour, vue la nuit que j'avais passée je ne pourrais pas rester debout très longtemps. En plus d'avoir à présent très mal à une certaine partie de mon corps, je venais tout juste de commencer et franchement j'ignorais comment j'allais supportais ça mais d'après Steve, mon « père », la douleur ne serait là que cette fois, il parait qu'ensuite je serais habitué à ça. Et comme je l'avais prévue, je m'endormais en plein milieux du cours de français, d'ailleurs je récoltai une retenue après cette heure là.Je fixais mon professeur de français qui corrigeaient sans doute des copies. Lorsqu'il remarquait que je le fixais, il se leva et marcha jusqu'à moi, il prenait ma feuille vierge entre ses mains et s'exclamait.

    « - Tu crois que c'est parce que tu es dyslexique que tu ne dois pas faire ce que je te demande ? Je sais que tu peux écrire en Grec ancien pourquoi le fait tu pas ? Je ne te demande pas la lune juste que tu définis la liberté Espérance.

    - Je ne peux pas définir une chose que je ne connais pas professeur Stoker.

    - Tu es libre, totalement libre. Nous sommes tous libre.

    - Je ne suis pas libre. Je suis tel un oiseau en cache.

    - Tu n'as qu'à faire le choix de te défaire de cette cage.

    - Je ne peux pas, je n'ai pas le choix.

    - On a tous le choix Espérance.

    - Pas moi ! *Je me relevais d'un seul coup* Je n'ai pas le choix ! Vous ne comprenez pas ! Je
    serai toujours enchaîné quoi qu'il arrive. Vous savez ce que j'en fais ,moi, de la liberté ? *Je lui prenais la fiche des mains et l'arracha* Voilà ! Allez au diable vous et votre liberté à deux balle ! »


    Je poussais mon professeur, pris mon sac et quitta la salle en courant, je me rappellerais toujours de cette dispute avec le professeur Stoker, il avait beau être gentil et serviable mais qu'est-ce qui pouvait être lourd parfois. Un mois avait passé depuis l'accident et rien n'avais changé, à par le fait que je ne mette plus les pieds en cours, j'étais toujours aux côtés de mon « père », j'étais d'ailleurs en train de remettre en ordre mes cheveux lorsque Steve, pour une fois, s'exclama.

    « - Je n'ai toujours pas compris pourquoi une lycéenne comme toi fessaient ça. Tu aimes tant l'argent que ça ?

    - Je n'aime pas l'argent, encore moins le sale, les raisons qui me poussent à faire ça ne te regarde pas vraiment. Et moi je n'ai toujours pas compris pourquoi un vieux comme toi aimait les petites minettes comme moi. »


    Je regrettais aussitôt mes paroles lorsque je sentais sa main et particulièrement sa chevalière qui ornaient un de ses doigts s'abattre sur ma joue, je m'écroulais par terre due à la force du coup. Et merde j'allais surement avec une marque demain. Je l'entendais encore une fois s'exclamait alors que je relevais la tête.

    « - Il me semble que tu as oublié une chose primordiale chérie *Il prenait mon visage entre ses mains et sera assez fort pour que j'ai mal* Tu me dois le respect, je ne tolérais pas que tu hausses la voix sur moi, il va falloir que tu apprennes qui est le chef ici et qui est l'objet. Je vais tachais qu'à l'avenir tu n'oublies plus ça. »

    Il lâchait mon visage pour prendre sa ceinture, les coups pleuvaient sans arrêts j'avais beau criais, j'avais beau m'excusais rien ni fessait et la douleur augmenta encore plus lorsque je me mettais à pleurer, il lâchait sa ceinture et me prenais par les cheveux pour me faire comprendre à quel point il détestait les pleureuses. A cet instant j'avais qu'une envie, quittais cette terre hors il n'irait jamais jusqu'à ce point, il avait encore besoin de moi... Au fond de moi je savais que..

    ... Je serai à jamais prisonnière de mes chaînes, quoi que je fasse quoi que je dise. Je serai souillé à jamais...


    ◕ L'argent est sale, aussi sale que mon corps à New York. ◕ 3096095489_1_13_CyxoeckN

    Je ne cesserais jamais de sourire, je te le promet.
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